Consciemment ou inconsciemment, nous voyons et entendons de nombreuses publicités et promotions d’alcool au quotidien. Elles sont partout!
- On les retrouve dans les commerces, sur des abribus, dans des vitrines de dépanneurs ou de succursales de la SAQ, sur des panneaux d’autoroute, sur des colonnes de rue, dans les arénas, dans le métro, etc.
- La publicité s’invite aussi dans nos maisons par la radio, la télévision, sur les sites web, dans les courriels ou encore dans les circulaires.
- Quelque deux millions de Québécois, membres du programme Inspire de la SAQ, reçoivent chaque semaine des promotions ciblées et personnalisées les incitant à acheter des produits.
- Des influenceuses et influenceurs sur les médias sociaux, des émissions de services – commanditées ou non – et des chroniques vidéos ou écrites contribuent aussi à la promotion des vins, de la bière et d’autres boissons.
- Les enfants et les personnes qui luttent contre une dépendance sont aussi exposés à ce marketing intensif.
- La publicité de l’alcool a un impact sur la quantité consommée, particulièrement chez les gros buveurs [9].
- Les adolescentes et adolescents exposés à la publicité d’alcool commencent à en boire plus jeunes que les autres [10].
Comme une image vaut 1000 mots, l’ASPQ a réalisé en 2019-2020 une recension illustrée montrant une diversité de tactiques promotionnelles utilisée par l’industrie pour mousser la consommation d’alcool chez les Québécois.es.